Fin de vie

SOIGNER UN PATIENT EN FIN DE VIE

La loi n° 2005-370 du 22 avril 2005 renforce le droit des malades et sécurise l’exercice de la médecine dans les situations délicates de la fin de vie.

Selon l’article 37 du code de déontologie, le médecin doit s’abstenir de toute obstination déraisonnable dans les investigations ou la thérapeutique.
L’article L.1111-4 du code de la santé publique précise que le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ce choix. Le médecin doit également prendre en compte les directives anticipées que le patient a rédigées (article L.1111-11 du code de la santé publique).
Enfin, la loi prévoit une procédure collégiale d’arrêt ou de limitation des traitements susceptible de mettre sa vie en danger lorsque la personne malade est hors d’état d’exprimer sa volonté

Pour plus d'informations, nous vous invitons à consulter l'article du Conseil national de l'Ordre paru dans le bulletin de mai-juin 2013 en cliquant sur ce  médecins spécial fin de vie 2013.